Main qui tient une banane avant de l'avaler
Le 12 février 2025

Tu avales ou pas ?

On s’est tous déjà posé cette question

C’est LA question qui peut soit déclencher un fou rire, soit un malaise gênant digne d’un repas de famille : “Tu avales ou pas ?”. Si t’as déjà entendu cette question dans un contexte douteux, t’es pas seul(e). Alors, pourquoi on en fait tout un plat ? Et surtout, pourquoi c’est une question qui revient si souvent ? Allez, on démonte les idées reçues et on en parle !

Depuis la nuit des temps (ou au moins depuis que les gens ont commencé à se poser des questions sur leurs pratiques sous la couette), la sexualité est entourée de normes, d’injonctions et de WTF culturels.

Les influences culturelles et médiatiques

  • Dans la pornographie : Alors là, c’est le festival du cliché ! Les films pour adultes ont imposé un “script” tellement rigide qu’on dirait un mode d’emploi Ikea, mais sans les vis en trop. Spoiler : dans la vraie vie, personne n’a un éclairage parfait, une playlist millimétrée et un acting digne d’un Oscar.
  • Dans les médias : Un coup, c’est suggéré à la sauce romantico-cucul dans une série Netflix, un autre coup, c’est tourné en dérision dans un sketch qui finit en malaise intersidéral. Entre le silence gêné et l’hilarité forcée, on ne sait plus trop sur quel pied danser… ou sur quoi avaler.
  • Les différences culturelles : En France, on adore jouer les provocateurs sur le sujet, mais ailleurs, c’est encore plus tabou qu’un pet en plein dîner romantique. Imagine un débat sur la question dans certains pays ultra-conservateurs… Ça pourrait causer plus d’émeutes qu’un épisode final de Game of Thrones raté !
3 smoothies rose, jaune et vert

Bon, au-delà des discussions de comptoir et des débats enflammés entre potes, qu’en dit la science ?

Composition et impact sur la santé

Le sperme, c’est en gros un cocktail de protéines, d’enzymes et de sucre. Un smoothie maison, mais qui ferait un flop monumental sur Instagram. Pas de couleur flashy, pas de topping aux graines de chia, et surtout, une recette qui fait débat. (Lire une étude sur la composition du sperme)

Contrairement aux légendes urbaines, ça ne booste ni ton QI, ni tes biceps. Si c’était le cas, on aurait déjà remplacé les shakers de protéines par autre chose dans les salles de sport. Mais pas de panique, ça ne fait pas de mal non plus… sauf si t’es allergique. Et là, c’est clairement pas ton jour de chance. (En savoir plus sur les allergies au sperme)

Les risques et précautions à prendre

  • IST et protection : On va pas se mentir, le sexe, c’est cool, mais la prévention, c’est mieux. Un petit souvenir en bonus style IST ? Non merci. Comme toute pratique, y’a des risques, et le préservatif, ce n’est pas qu’un accessoire déco.
  • Allergies et intolérances : Oui, ça existe ! Certaines personnes sont allergiques au sperme, un peu comme d’autres le sont aux fraises ou aux poils de chat. La nature est injuste, et clairement, certaines loteries biologiques sont moins fun que d’autres.

La fameuse question “Tu avales ou pas ?” cache en fait une réalité bien plus large : celle des attentes (parfois bien lourdes) dans la sexualité.

Une pression genrée

  • Sur les femmes : La pression d’être “cool”, de “faire plaisir” et d’être “open” peut être pesante. Mais la réalité, c’est que personne n’est censé faire quelque chose qu’il/elle ne veut pas. Et c’est clair !
  • Sur les hommes : Eux aussi peuvent ressentir une attente implicite, comme si cette pratique était un genre de validation de virilité. Spoiler : c’est pas le cas.

Déconstruire les idées reçues

  • Ce n’est ni une obligation, ni une preuve d’amour. Stop aux pressions inutiles.
  • La communication, c’est la clé : si t’as des doutes, parles-en plutôt que de lancer un débat gênant au pire moment.
  • Le consentement, ça s’applique à tout. Même aux trucs qui semblent anodins.

Un sujet qui divise (mais pas tant que ça)

On a demandé l’avis de quelques âmes bienveillantes :

“Franchement, c’est pas une question existentielle. Chacun fait ce qu’il veut et basta.” – Léa, 28 ans.

“J’ai longtemps cru que c’était obligatoire. Spoiler : ça ne l’est pas, et je vis très bien sans.” – Sarah, 31 ans.

“Moi, je fais en fonction de mon mood et de mon envie. Simple, efficace.” – Maxime, 35 ans.

Ce qui compte, c’est de faire ce qui nous plaît, sans pression ni jugement. Parce qu’après tout, on n’est pas là pour jouer à “Qui veut gagner des millions ?” avec des pratiques sexuelles.

Si tu veux aller plus loin sur le sujet, tu peux aussi lire nos articles :

Alors, on se détend, on communique, et surtout, on kiffe. Et toi alors.. Tu avales ou pas ? 😉