Bananes et donuts pour représenter les parties intimes
Le 12 février 2025

Les pires surnoms pour les parties intimes (arrêtez ça)

Soyons honnêtes : donner un surnom à ses parties intimes est une tradition universelle, oscillant entre pudeur, tendresse et absurdité. Mais parfois, l’imagination humaine va trop loin, accouchant de surnoms si gênants qu’ils défient toute logique.

Alors, aujourd’hui, nous vous proposons un top 5 des pires surnoms pour vos précieuses parties, histoire d’exorciser ensemble ces choix douteux. Accrochez-vous, ça va secouer.

1. Chouquinette
Rien que le mot donne une impression étrange. On dirait une fusion ratée entre une viennoiserie bas de gamme et un nom de doudou pour enfant. Imaginez donc une scène romantique où quelqu’un murmure à l’oreille de son partenaire : « J’ai hâte de caresser ta chouquinette ce soir… » Frisson d’horreur garanti. Autant dire qu’il est temps de laisser ce genre de termes aux boulangeries et aux peluches de nourrisson.

2. Pépette
Dans la même veine, oui, c’est mignon. Trop mignon. Tellement mignon que ça en devient dérangeant. En effet, « Pépette », c’est le genre de surnom qu’on donnerait à une grand-mère facétieuse ou à un petit chihuahua un peu nerveux. Mais, dans un contexte intime, c’est tout simplement une fausse note. Franchement, entre une partie du corps et un chaton angora, il faut choisir.

3. Chatte
Ensuite, il y a « chatte ». On comprend le jeu de mots, on voit l’intention. Cependant, le problème, c’est qu’il est devenu si courant qu’on en oublierait presque qu’il désigne une partie de l’anatomie humaine et non un félin qui fait sa toilette. Ajoutez à cela le fait que l’argot évolue et que « chatte » s’est imposé dans un nombre incalculable de blagues douteuses, et vous obtenez un surnom définitivement grillé.

4. Titi
Et puis, il y a « Titi ». Franchement, qui a décidé d’appeler un organe intime comme le canari jaune d’un dessin animé des années 90 ? Ça évoque immédiatement « Gros Minet », et il n’y a rien de moins sexy que d’imaginer une relation entre un oiseau et un chat dans un contexte romantique. Résultat : c’est un non catégorique.

5. Zézette
Enfin, parlons de « Zézette ». Ce surnom traîne une valise bien trop lourde derrière lui. Dès qu’on l’entend, impossible de ne pas penser à Zézette, le personnage culte du film Le Père Noël est une ordure. Et soyons honnêtes : une référence cinématographique aussi marquante, ça tue complètement le glamour. Du coup, même si le mot avait un potentiel attendrissant, son destin est scellé.

1. Paupaul
Pauvres Paul de ce monde, on compatit sincèrement. Ce surnom est une double peine : non seulement il est d’un classicisme affligeant, mais il donne aussi une image beaucoup trop amicale. « Paupaul », ça sonne comme le pote un peu lourd qui raconte toujours la même blague aux repas de famille. Pas l’idéal pour un moment d’intimité.

2. Bite
Alors là, niveau zéro de l’imagination. C’est comme appeler son chien « Chien » ou son chat « Chat ». Non seulement c’est vulgaire et abrupt, mais en plus ça manque cruellement d’originalité. Et puis, autant éviter les mots qui pourraient être criés par un enfant qui vient de tomber sur un dictionnaire de gros mots.

3. Mademoiselle
Celui-ci défie toute logique. Qui, pourquoi, comment ? Si quelqu’un peut expliquer l’intérêt de donner un nom féminin à un organe masculin, on est preneurs. Un pseudo mystique ? Une ironie cachée ? Un simple acte de rébellion linguistique ? On veut bien être ouverts d’esprit, mais là, on reste perplexes.

4. Quéquette
Rien que de l’écrire, on a une sensation bizarre. C’est le genre de mot qui pourrait être prononcé par une vieille tante un peu excentrique lors du repas de Noël. Imaginez la scène : « Alors, il a sorti sa quéquette ?! » Un silence s’installe, l’horreur se lit sur tous les visages. Plus jamais vous n’utiliserez ce mot de la même manière.

5. Scoubidou
Pourquoi ? Pourquoi associer une partie du corps à une chanson de camping ringarde ou à ces petits jouets en plastique colorés qu’on tressait à l’école primaire ? Rien dans ce mot ne respire la sensualité. Juste un grand malaise. On dirait une tentative désespérée de transformer un moment intime en kermesse de fin d’année.

On aurait pu s’arrêter là, mais non, il fallait qu’on partage quelques perles supplémentaires. Parce que l’imagination humaine ne connaît aucune limite, voici quelques surnoms qui nous laissent sans voix : 

Pour les filles :

  • Pistache : À quel moment s’est-on dit qu’une noix pouvait être une métaphore valable ?
  • Minou : On est en 2025, il est temps de passer à autre chose.
  • Framboise : Un fruit, encore un. On arrête avec cette tendance, merci.

Pour les garçons :

  • Tronçonneuse : Tout ce qui évoque du danger, des lames et du carnage est définitivement à bannir.
  • Gourdin : On peut essayer d’être un minimum subtil ?
  • Excalibur : À moins d’avoir un destin royal et de sortir son épée d’un rocher chaque matin, on se calme.

Alors, si cet article a un message à faire passer, c’est bien celui-ci : vos parties intimes n’ont pas besoin d’un surnom ridicule pour exister. Il y a une frontière fine entre un petit nom affectueux et une catastrophe linguistique. Alors, au lieu de les appeler comme une peluche d’enfant ou une relique médiévale, pourquoi ne pas adopter une approche plus sobre ?

Et si on poussait encore plus loin… en leur donnant tout simplement pas de surnom du tout ? Une idée radicale, certes, mais qui pourrait éviter bien des malaises à l’avenir.

Et vous, c’est quoi le pire nom que vous ayez entendu ? 👀

Pour aller plus loin vous pouvez aller voir notre précédent article : « Parler de sexe au repas de famille »